Cette belle boîte contenait des chocolats d'une marque connue dont le nom est associé à une forme déjà utilisée pour plusieurs de mes mazzocchi. J'ai même, pour faciliter la compréhension du volume en question, prononcé le nom de cette marque mais je ne le ferai pas ici. (Déjà qu'aujourd'hui comme hier, et apparemment ça fait plaisir à certains, j'ai ralenti la cadence.)Evidemment je parie que les chocolats en question n'ont fait l'objet de cette présentation que pour les fêtes et cette boîte sera devenue introuvable, remplacée sur les rayons des supermarchés par du linge de maison, serviettes éponge, draps housses, plaids en polaire.
Mais ne quittons pas le rayon confiseries et souvenons-nous que tous mes travaux démarrés en 2000 sur les mises en volume de dessins de volumes en perspective cavalière ont trouvé leur origine dans une boîte de calissons apportée, en 1997 je crois, par un étudiant qui s'appelait Nicolas. Boîte en forme de losange qui quand il était aplati semblait bien représenter une boîte parallélépipédique, à mon grand étonnement. (Je ferai un dessin.) J'avais même nommé un temps, "calissons de Nicolas" les petits volumes blancs que j'en avais déduits et qui ont eu dans les années qui ont suivi une conséquente descendance. Mais la boîte a disparu avec celui qui l'avait apportée et jamais je n'ai retrouvé une telle boîte de calissons qui d'ordinaire sont présentés dans une boîte en dur inaplatissable.
1 commentaire:
Le souvenir de Raymond Roussel qui fît fabriquer une boite en argent de la forme d'une étoile pour y conserver un gâteau offert par Camille Flammarion lors d'un repas.
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