jeudi 27 décembre 2007

Ce n'est pas la cathédrale catholique de Liverpool




On m'objectera que nul n'aurait fait la confusion mais je n'ai pas pu m'empêcher de penser à la cathédrale catholique de Liverpool en considérant ce petit volume dont on devinera qu'il a été dessiné pour servir de support ostentatoire pour des chocolats à l'intérieur d'un édifice composite dont on serait tenté de conserver l'enveloppe générale de forme conique en plastique transparent. On trouvera à la page 303 de l'ouvrage de Tom Phillips intitulé THE POSTCARD CENTURY une carte postale de la fameuse cathédrale que j'ai pu voir de mes yeux en juin 2001, en bonne compagnie.
On pourra cliquer sur le lien dédié à Tom Phillips pour en savoir plus sur ce monsieur qui joua un rôle important dans ma découverte de l'art à l'automne 1975 lors du vernissage de l'importante exposition retrospective qui lui était consacrée à l'Arc, musée d'art moderne de la Ville de Paris.

Grande nouveauté


Parfois il faut modifier ses habitudes, changer de matériel par exemple, et ce n'est pas sans appréhension que ce passage peut avoir lieu. L'image qui accompagne ce message a pour mission de marquer un nouvel usage encore hésitant et timide, celui de la petite caméra inscrite dans un tout petit carré situé au-dessus et au milieu de mon écran depuis samedi encore très neuf. On notera aussi bien que si les tirages des développés sont effectués (il y en a un bon paquet d'autres hors champ) je ne me suis pas accordé la satisfaction de réaliser le montage de mes petites maisons tordues, occupé par ailleurs à certaines tâches certaines fâcheuses d'autres moins. Je pourrais ajouter (mais ça n'intéressera certainement personne vu de loin) que ce message est le tout premier que j'expédie depuis une connexion sans fil qui me semble réellement miraculeuse.

lundi 17 décembre 2007

Vérification s'impose

Trop content la semaine dernière j'aurai pris l'approche visiblement moins erronée pour la solution espérée mais tout en téléphonant hier soir, l'oeil à hauteur de la table au bord de laquelle était posé le prototype numéroté 3 j'ai constaté avec un agacement sournois que les pignons ne sont pas les surfaces planes espérées. La non adhérence au plateau de la table en fait foi. Je prévoyais ce nouveau lundi, enfin disponible à la tâche, comme le moment de la multiplication des développés à mettre en forme et accoler les uns aux autres pour voir enfin la forme sinueuse sous toutes ses coutures. Mais comment se résoudre à tolérer l'imperfection ? Comment se résoudre à continuer ce bricolage quand je pressens la nécessité d'acquérir l''outil de calcul qui ne manque pas à d'autres, lesquels peut-être le négligent, n'en connaissant pas le besoin. Je pressens néanmoins que si je penchais pour une provisoire solution dont l'imperfection n'apparaîtrait qu'à peine ou même pas du tout si j'acceptais de renoncer à cette vérité invisible je gagnerais au moins le regain d'énergie dont je sens bien qu'il me manque pour parcourir les quelques jours qui me restent avant d'atteindre aux rivages d'une période moins agitée.

mardi 11 décembre 2007

Vers une heure du matin un prototype satisfaisant


Sans doute pourrait-on approcher plus encore de la précision géométrique mais les conditions dans lesquelles je travaille me permettent d'accepter avec une assez grande satisfaction le dernier prototype obtenu après des tentatives répétées.
Il ne restera qu'à multiplier le module pour apprécier la belle courbe des torsions.

Mise à plat salutaire


J'aurais dû commencer par là ; nulle autre image que celle-ci, ne montrera mieux la torsion infligée au sol. Celle du toit est visible aussi. Ne pas oublier de considérer l'image de gauche comme transparente et d'interpréter celle de droite comme concave.

Toujours un problème de toit


Sans moyen de calcul fiable je n'ai que la solution du tâtonnemment progressif pour réaliser le toit que je ne prévois pas ouvrant. J'imagine encore que la construction en 3D me serait dans ce cas d'un grand secours, immédiat. J'aimerais en reparler dans quelque temps.

lundi 10 décembre 2007

En voie de résolution


Par un éclair soudain de lucidité j'ai cru trouver le chemin qui me mènerait vers la résolution de l'épineux problème de la rue de maisons en pente qui tourne sur elle-même. En ce qui concerne les murs et le sol vrillé l'ensemble se tient : le sol est vrillé, oui, et c'est ce qu'il fallait comprendre, l'observation ou le souvenir de n'importe quel escalier hélicoïdal en béton aurait dû me mettre sous l'oeil la courbure en tire-bouchon impossible à aplatir sous un fer à repasser. Heureusement que j'ai déjà expérimenté les surfaces de papier vrillées avec les cubes imités de Calatrava il y a rès d'un an. Reste le problème du toit, c'est-à-dire celui des angles du toit, problème déjà rencontré plusieurs fois et sur lequel je me suis cassé le nez.