Quatrieme et derniere visite au Metropilitan apres le dernier cappuccino et muffin en lisant le dernier New York Times sur Madison Avenue. L'Apple Store est beaucoup plus peuple ce midi mais on parvient a trouver un Mac disponible. On pourrait aussi avoir envie d'etre tente par un I-Pod ou bien meme un I-Phone.
Good bye New York.
samedi 26 avril 2008
New York Apple Store 5eme Avenue
En direct de l'Apple Store 5eme avenue je m'offre le plaisir de publier un ultime message new-yorkais a partir d'un des multiples (18) MacBook Air a la disposition de tout un chacun sur de longues tables de bois clair, ouverts et connectes. D'autres tables offrent des MacBook Pro, des I-pod, toute la gamme, dans une ambiance sonore d'un niveau tres eleve ou la musique domine sans amoindrir le brouhaha invraisemblable des conversations. Je suis descendu de la 92eme a la 59eme par Madison Avenue en faisant une halte a la librairie du Whitney Museum ouvert jusqu'a 21 heures le vendredi et j'ai pu admirer les rutilantes vitrines de mode.
Apres consultation d'Orange qui ne m'a jamais permis d'aller voir mes e-mails je sais seulement, sans avoir pu les voir que 132 messages m'attendent pour demain au-dela de l'Atlantique mais ce demain sera en fait apres-demain.
Apres consultation d'Orange qui ne m'a jamais permis d'aller voir mes e-mails je sais seulement, sans avoir pu les voir que 132 messages m'attendent pour demain au-dela de l'Atlantique mais ce demain sera en fait apres-demain.
vendredi 25 avril 2008
deux dessins aujourd'hui
mardi 22 avril 2008
GONE TO NEW YORK
I noticed yesterday that something had changed while walking in the New York Streets. I was less impressed, less overwhelmed, I thought that I was used to New York.
In the same time I feel tired and I begin to think of the days, in a few days we will fly back accross the Atlantic but I can't imagine I will have to wait for long years to come back in New York where I feel well. I would like to go everywhere, many places remain unknown. Of course I know perfectly where in Paris to buy american books, The New York Times or The New Yorker but New York will go back far, not so far as before I suppose, and hope.
I began yesterday night a book I bought at Shakespeare and Company, on Broadway, downtown, GONE TO NEW YORK, by Ian Frazier.
In the same time I feel tired and I begin to think of the days, in a few days we will fly back accross the Atlantic but I can't imagine I will have to wait for long years to come back in New York where I feel well. I would like to go everywhere, many places remain unknown. Of course I know perfectly where in Paris to buy american books, The New York Times or The New Yorker but New York will go back far, not so far as before I suppose, and hope.
I began yesterday night a book I bought at Shakespeare and Company, on Broadway, downtown, GONE TO NEW YORK, by Ian Frazier.
New York New York
J'ai visite le Whitney, le Guggenheim, le Moma, PS1, Le Nouveau Musee d'art contemporain down town sur Bowery, nous avons pris le train qui longe l'Hudson une heure et demie pour nous deposer a Beacon ou la collection d'oeuvres minimalistes du Dia est epoustouflante. Cet apres-midi Metropolitan, resisterai-je a monter sans delai sur le toit terrasse pour voir l'exposition des sculptures de Jeff Koons dont j'ai lu dans le New York Times en buvant mon cappuccino sur Madison Avenue qu'elles etaient minimisees par le ciel trop haut et la concurrence redoutable du panorama ?
Olafur Eliasson a investi plusieurs salles du MoMa et de PS1, bravo Olafur, je me sens tout petit devant vos constructions, vos investigations geometriques, vos jeux de lumieres et de miroirs.
Malheureusement le Turrell a ciel ouvert n'etait pas accessible, j'aurais tant aime en faire l'experience decrite notamment par Clelia et Benoit.
Mais surprise, au sein de l'exposition sur l'art feministe militant une salle etait consacree a Lygia Clark ; une nouvelle fois je peux voir sur une cimaise prestigieuse une photo sur laquelle je marche la tete completement cachee dans la tete collective dont une reconstitution bien plus esthetisante que celle realisee par Gaelle a l'epoque (mai ou juin 76).
(Une nouvelle fois depuis la Documenta de Cassel en 97, et l'exposition de Nantes en 2005 a l'occasion de laquelle Gaelle et moi avions ete interviewes.)
Au jeune gardien qui m'a surpris en train de rengainer mon appareil en me demandant si j'avais l'autorisation des journalistes j'ai tenu a signaler que c'etait moi sur la photo et Gaelle a pointe la tete collective en affirmant "I did it". Gentiment, il a hoche la tete, a regarde la date sur le cartel et puis il est parti.
On parvient a noter la difference de la tete collective reconstituee par rapport a l'originale de la photo en noir et blanc.
Un cube de lumiere d'Olafur Eliasson
Olafur Eliasson a investi plusieurs salles du MoMa et de PS1, bravo Olafur, je me sens tout petit devant vos constructions, vos investigations geometriques, vos jeux de lumieres et de miroirs.
Malheureusement le Turrell a ciel ouvert n'etait pas accessible, j'aurais tant aime en faire l'experience decrite notamment par Clelia et Benoit.
Mais surprise, au sein de l'exposition sur l'art feministe militant une salle etait consacree a Lygia Clark ; une nouvelle fois je peux voir sur une cimaise prestigieuse une photo sur laquelle je marche la tete completement cachee dans la tete collective dont une reconstitution bien plus esthetisante que celle realisee par Gaelle a l'epoque (mai ou juin 76).
(Une nouvelle fois depuis la Documenta de Cassel en 97, et l'exposition de Nantes en 2005 a l'occasion de laquelle Gaelle et moi avions ete interviewes.)
Au jeune gardien qui m'a surpris en train de rengainer mon appareil en me demandant si j'avais l'autorisation des journalistes j'ai tenu a signaler que c'etait moi sur la photo et Gaelle a pointe la tete collective en affirmant "I did it". Gentiment, il a hoche la tete, a regarde la date sur le cartel et puis il est parti.
On parvient a noter la difference de la tete collective reconstituee par rapport a l'originale de la photo en noir et blanc.
Un cube de lumiere d'Olafur Eliasson
mardi 15 avril 2008
En direct de New York
J'aurais bien aime accompagner de photos mon premier message ici mais j'ai laisse mon cable de connexion dans la chambre de House of the Redeemer 95eme rue alors que je suis installe dans la bibliotheque au dixieme etage de Dalton School, 89eme rue. Le ciel est parfaitement bleu ce matin.
Les arbres sont en fleur, l'atmosphere etait printaniere samedi, beucoup plus fraiche dimanche et lundi mais on nous promet une temperature en constante augmentation. Dimanche matin il faisait froid depuis la terrasse de l'Empire State Building mais c'etait parfait. Ensuite nous avons visite la Frick Collection puis nous avons fait le tour de Manhattan en bateau pendant deux heures au depart du niveau de la quarante-deuxieme rue ouest jusqu'au niveau du siege de l'Onu a l'est, et retour. La statue de la Liberte dont nous nous sommes approches ne semble pas grande. A Bryant Park j'ai voulu rendre visite a la statue de Gertrude Stein decrite par Munoz Molina dans Fenetres de Manhattan mais elle n'appuie pas son menton sur sa main, sans doute a-t-il reecrit son souvenir apres coup. Neanmoins son livre est mon guide prefere. La description de Jonathan Safran Foer m'accompagnait egalement a l'Empire State Building, il a raison, les gens n'apparaissent pas comme des fourmis mais comme des gens miniatures. Charyn, lui, decrit quelque part les gens vus de haut comme des vers de terre mais c'est un peu surprenant, il me faudra verifier. A propos de verification, je constate qu'etre VRAIMENT a NEW YORK tient a la fois de la verification et de la surprise (totale) (je suis tellement totalement surpris d'etre a NEW YORK que je me surprends a me le dire tout bas tres frequemment).
Hier la surprise preparee a ete la traversee de l'East River par le tramway aerien avec notre simple carte de metro. Sur Roosevelt Island les arbres en fleur roses ou blanc ont servi de premier plan epatant pour photographier la Skyline de Manhattan deja photographiee du bateau la veille.
On s'eleve dans une nacelle suspendue par des cables qui longent Queensboro Bridge et c'est tres photogenique (pour ne pas dire plus).
Time to have lunch.
See you soon.
Les arbres sont en fleur, l'atmosphere etait printaniere samedi, beucoup plus fraiche dimanche et lundi mais on nous promet une temperature en constante augmentation. Dimanche matin il faisait froid depuis la terrasse de l'Empire State Building mais c'etait parfait. Ensuite nous avons visite la Frick Collection puis nous avons fait le tour de Manhattan en bateau pendant deux heures au depart du niveau de la quarante-deuxieme rue ouest jusqu'au niveau du siege de l'Onu a l'est, et retour. La statue de la Liberte dont nous nous sommes approches ne semble pas grande. A Bryant Park j'ai voulu rendre visite a la statue de Gertrude Stein decrite par Munoz Molina dans Fenetres de Manhattan mais elle n'appuie pas son menton sur sa main, sans doute a-t-il reecrit son souvenir apres coup. Neanmoins son livre est mon guide prefere. La description de Jonathan Safran Foer m'accompagnait egalement a l'Empire State Building, il a raison, les gens n'apparaissent pas comme des fourmis mais comme des gens miniatures. Charyn, lui, decrit quelque part les gens vus de haut comme des vers de terre mais c'est un peu surprenant, il me faudra verifier. A propos de verification, je constate qu'etre VRAIMENT a NEW YORK tient a la fois de la verification et de la surprise (totale) (je suis tellement totalement surpris d'etre a NEW YORK que je me surprends a me le dire tout bas tres frequemment).
Hier la surprise preparee a ete la traversee de l'East River par le tramway aerien avec notre simple carte de metro. Sur Roosevelt Island les arbres en fleur roses ou blanc ont servi de premier plan epatant pour photographier la Skyline de Manhattan deja photographiee du bateau la veille.
On s'eleve dans une nacelle suspendue par des cables qui longent Queensboro Bridge et c'est tres photogenique (pour ne pas dire plus).
Time to have lunch.
See you soon.
mercredi 2 avril 2008
Mazzocchio ajouré non erroné
Non erroné enfin après une deuxième tentative laborieuse et revenue malencontreusement se vautrer dans le sillon écervelé de la première décrite précédemment. Mais comment se fait-il qu'on ait parfois la tête ailleurs au point de ne voir le problème que quand les matériaux concrets redessinés imprimés pliés découpés perdent soudain toute imminence de magie pour devenir matériau bon aux rebuts qu'on ne se résout pourtant pas à éliminer séance tenante. (Mais qu'en faire, à peine bons à brader ?)
Ce qu'il fallait changer ? Le section comporte douze faces, la moitié 6 est encore paire, ce qui permet l'alternance positif négatif.
A quelque chose malheur est bon ; la colère m'a fait abandonner les bleus ternes pour la dépense d'un orange éclatant. Je ne suis pas fâché qu'ainsi paré ce mazzocchio ajouré m'évoque la fragilité éclatante du coqueret alkekenge appelé communément "amour en cage". Et de cage ce mazzocchio en prend aussi les dehors.
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