Aujourd'hui se termine l'exposition GOOD VIBRATIONS organisée à Dresde par Verena Hupasch et Daniel Lordick et je suis resté à 1100 km de cet événement. Je ne verrai donc pas autrement que par l'intermédiaire de photos les étonnants polyèdres de papier découpé par Ulrich Mikloweit.
Ni les travaux d'après la Grammaire des ornements d'Owen Jones réalisés par Silke Radenhausen.
Quant à la machine qui dans un mouvement perpétuel transforme inlassablement en dodécaèdre, un cube, un tétraèdre et un octaèdre, œuvre d'Attila Csörgö, j'ai eu la chance de la connaître à la Biennale de Venise en 2001 et de la faire venir au Mans en 2004 pour Persistante Perspective, organisée avec David Liaudet à l'école des beaux arts.
Je n'aurai pas non plus eu le plaisir de découvrir en la compagnie d'autres Tores, deux de mes mazzocchi exposés dans une vitrine.
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1 commentaire:
Oui c'est triste mais il faut encore signaler le magnifique catalogue de l'exposition.
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