lundi 7 mai 2007

La troisième salle


Le titre de ce volume est devenu Pointé à l'infini blanc en envoyant une photo du petit montage de papier initial il y a trois ans. Le premier titre était Poutre et son prolongement jusqu'à l'infini amovible car c'était là l'idée. On peut aussi penser au nez du Concorde, infiniment moderne et dessiné pour fendre les airs. Il me plaît infiniment que grâce à Jean-Paul Berrenger qui n'a pas ménagé sa peine pour le rendre possible, ce volume en grandissant soit entré un peu plus dans le réel. Il me plaît également que le pointe soit en contact avec le mur blanc.

1 commentaire:

Liaudet David a dit…

Justement, le nez du Concorde se plie pour permettre la vue vers le sol des pilotes. Vue dégagée et visée assurée sont les points communs de ces deux formes. L'une destinée au vol,l'autre au sol.
Tout concorde donc.