samedi 17 novembre 2012

Brouillard en novembre


1 commentaire:

Liaudet David a dit…

je crois vraiment que tu te laisses déborder par le fait que des lignes parallèles se touchent sur l'horizon. C'est une tromperie absurde et politique.
Un peu d'imagination et tu verras que si tu te libères tu trouveras que tu es enfermé dans une machine de vision.
et là enfin le monde vrai t'apparaitra plus libre et enchanteur : un peu comme les bunkers de Virilio.