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Il y a deux ans j'étais reparti des Archives de la Critique à Rennes, où j'avais accompagné mes étudiants pour la préparation de leur mémoire, avec un livre confié par Sylvie Moktari pour que j'en fasse une note de lecture. Tout premier exercice de ce genre. Enthousiaste, j'en avais commencé la lecture en italien dans le train de retour à Paris. Puis j'avais laissé passer des mois et il aura fallu une relance pressante de la part de Sylvie Moktari pour que je m'attaque à la rédaction définitive et suffisamment concise de cette note de lecture. J'avais craint avoir la dent trop dure. J'avais essayé de peser mes mots. L'œuvre de Paolini, qui brasse abondamment images et idées étroitement liées à la perspective devrait me plaire. Or elle n'est pas de celles qui m'intéressent le plus. Je sais pourquoi. Et je le dis un peu dans ce texte. Paolini considère la perspective comme une langue morte. Il doit l'aimer suffisamment, mais comme une langue morte. Et son œuvre est interprétée comme une critique qui ressasse tous les poncifs habituellement convoqués. Or, on peut l'observer à tout instant, la perspective est tout ce qu'il y a de plus vivant.
Je viens seulement de relire ce petit texte disponible sur le site des Archives de la Critique et je me suis aperçu que je n'en suis pas mécontent.
On pourra interroger Google et les livres pour prendre connaissance des œuvres de Giulio Paolini dont j'aimerais bien visiter bientôt la fondation.
Il y a deux ans j'étais reparti des Archives de la Critique à Rennes, où j'avais accompagné mes étudiants pour la préparation de leur mémoire, avec un livre confié par Sylvie Moktari pour que j'en fasse une note de lecture. Tout premier exercice de ce genre. Enthousiaste, j'en avais commencé la lecture en italien dans le train de retour à Paris. Puis j'avais laissé passer des mois et il aura fallu une relance pressante de la part de Sylvie Moktari pour que je m'attaque à la rédaction définitive et suffisamment concise de cette note de lecture. J'avais craint avoir la dent trop dure. J'avais essayé de peser mes mots. L'œuvre de Paolini, qui brasse abondamment images et idées étroitement liées à la perspective devrait me plaire. Or elle n'est pas de celles qui m'intéressent le plus. Je sais pourquoi. Et je le dis un peu dans ce texte. Paolini considère la perspective comme une langue morte. Il doit l'aimer suffisamment, mais comme une langue morte. Et son œuvre est interprétée comme une critique qui ressasse tous les poncifs habituellement convoqués. Or, on peut l'observer à tout instant, la perspective est tout ce qu'il y a de plus vivant.
Je viens seulement de relire ce petit texte disponible sur le site des Archives de la Critique et je me suis aperçu que je n'en suis pas mécontent.
On pourra interroger Google et les livres pour prendre connaissance des œuvres de Giulio Paolini dont j'aimerais bien visiter bientôt la fondation.
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