Cette image de New York a été écrite par Claude Simon dans Le Jardin des Plantes.
Je l'ai découverte au gré d'une libre pérégrination dans mon Pléiade offert l'an dernier par Françoise Wouts pour mes cinquante ans. Depuis dix ans que Luc Vezin m'a fait découvrir cet auteur, je n'ai lu entièrement que Leçon de Choses. Si je suis revenu à Claude Simon à la fin du mois d'août c'est par le biais d'un autre auteur, W. G. Sebald, dont un exemplaire d'Austerlitz m'avait été offert en février par Kate Blacker qui en le lisant (en anglais) avait pensé que ce livre était pour moi. J'ai dévoré Austerlitz en deux jours et ai commandé d'autres livres du même Sebald qui insérait toujours des photos dans ses textes.
La semaine dernière j'ai beaucoup aimé Cochon d'Allemand de Knud Romer.
La lecture qui requiert depuis une semaine toute mon attention est plus lente car en anglais et je cherche tous les mots inconnus dans mes dictionnaires : Call me by your name, par André Aciman.
J'ignore à quel moment je pourrai revenir à La Route des Flandres de Claude Simon et j'aimerais être capable de lire avec la même attention tous les livres que je désire.
J'ai été ravi de voir paraître en collection de poche Extrêmement Fort et Incroyablement Près de Jonathan Safran Foer que j'avais découvert tout seul l'an dernier et que j'avais lu en anglais avant sa traduction en français. J'en ai déjà racheté un exemplaire hier pour l'offrir aux Rizos qui croient que mon rêve aurait été de devenir architecte.